En 2020 et les années précédentes, de nombreuses occasions ont été offerts aux fans de NBA parisiens d’accéder à de mini expositions, aux abords d’événements particuliers liés à la NBA qui n’ont pas toujours été des réussites.
Parfois car le lieu était trop petit ou trop centré sur le marketing. Difficile d’en vouloir à la NBA et ses partenaires, tant le défi de trouver un lieu accessible et d’apporter du contenu de qualité est important.
Quand c’est bien, il faut le dire !
Et quand c’est exceptionnel, il faut le crier encore plus fort !
Depuis l’exposition Jordan au Palais de Tokyo lors de sa dernière visite officielle à Paris (en 2015 déjà…) je n’en avais pas pris autant dans les yeux.
Cette fois, la NBA a fait, avec les Chicago Bulls et les Detroit Pistons un travail FORMIDABLE.
Comment ne pas apprécier tout ce qui a été présenté gratuitement, faut-il le rappeler, pendant 5 jours, au public ?
La « House of Bulls », mini musée dédié au Bulls où étaient présentées les sneakers portées de Michael Jordan (Jordan XI Concord), celles -signées- de Pippen et les légendaires Nike Air Ndestrukt de Dennis Rodman (entre autres !) a attiré les foules.
Car d’autres items encore plus fous étaient présents, entre autres ballons et maillots signés, les 6 trophées ORIGINAUX des Bulls étaient présents, tout comme les 3 des Pistons !
Je ne voulais plus partir…
Des joueurs se sont aussi rendus disponibles (ou ex joueurs) dont BJ Armstrong, Luol Deng, TP et Joakim Noah… se rend-on compte de la chance que l’on a eu ? Pas sûr…
Bien sûr, cela ne touche pas tout le monde et la NBA avait envisagé qu’il faudrait occuper d’autres personnes avec tout un tas d’animations et de jeux (de ballon, ou digitaux), ainsi qu’un demi terrain où des dunkeurs et autres artistes de la balle se sont succédés pour amuser le public et surtout leur apporter du plaisir.
Le tout… -allez, une dernière pour la route-, GRATUITEMENT.
Dans ces conditions, chère NBA, revenez quand vous voulez, encore plus grand, avec encore plus de souvenirs liés à la ligue, nous les chérirons, je vous l’assure.
