Impossible pour le coup de parler de réveil difficile puisque le match d’hier était en primetime… mais il faut reconnaître que j’ai tout vu à l’envers sur le game 1 entre Boston et Cleveland. Oui oui, tout faux, de l’absence de Rodney Hood à la domination de LeBron… Elisabeth Tessier serait fière de moi. J’ai toute ma place dans le monde des liseurs d’avenir, ou pas.
Domination de bout en bout de Boston
Aucune place pour le suspens puisque les C’s ont d’entrée pris 20 points d’avance. Un fil rouge presque constant durant les 48 minutes de jeu, excepté un tout petit coup de mou en fin de 3ème qui a vu revenir Cleveland à -14.
Les Celtics ont dominé outrageusement cette rencontre et on peut déjà parler d’une démonstration de force tactique de Brad Stevens, lui qui rappelons-le n’a pas obtenu une seule voix pour le titre de meilleur coach de l’année.
0/12 à 3 points
Preuve que Cleveland marchait sur la tête, ce 0/12 en première mi-temps derrière l’arc. Ils ont forcé des tirs, totalement dépassés par la pression permanente sur le porteur de balle. Boston a réussi à faire déjouer LeBron James, ce qui est assez rare pour le souligner. 15 petits points pour le leader des Cavs (5 sur 16 au shoot), faible, très faible.
Alors que Boston a pu en équipe jouer à fond sur les lacunes de Cleveland, Jaylen Brown encore lui a été ultra dominant avec 23 points et 8 rebonds.
Marcus Morris a contribué à la domination dans la raquette (60 points) avec 21 points et 10 rebonds au compteur.
Résultat final, un +25 qui a de quoi piquer un LeBron très mécontent, 108 à 83.
Huitième victoire à domicile de suite en Playoffs
Le TD Garden est imprenable en ce moment et cela s’annonce un frein supplémentaire pour Cleveland dans cette série.
Mais puisque j’ai déjà écrit n’importe quoi en prévision de ce match, je me retiendrai bien d’annoncer quoi que ce soit sur l’avenir du Game 2 et encore moins de la série. Le suspens reste entier, place à l’Ouest à présent !